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Vos courses en Bio, le conseil en +
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Produits d’hygiène et cosmétiques bio

Ne retenir que les meilleurs produits d’hygiène et cosmétiques bio pour que nos clients et adhérents puissent les utiliser les yeux fermés, en toute confiance !

Pas question de voir des perturbateurs endocriniens ou autres composants
controversés !


De toute façon, ils sont exclus par le cahier des charges bio. Mais pour autant, comment s’assurer que la qualité des produits d’hygiène et cosmétiques bio est bien là ? Par exemple, les cosmétiques peuvent être bios mais constitués essentiellement d’eau avec trop peu de principes actifs ! Ou encore contenir des nanoparticules…

Avant de trouver leurs places sur nos étagères, les crèmes, savons, dentifrices, shampoings et autres produits d’hygiène et cosmétiques bio, passent donc entre les mains de Muriel, qui détaille scrupuleusement la liste de leurs ingrédients. Au-delà des exigences imposées par le cahier des charges bio, elle sélectionne ainsi les produits les plus riches en principes actifs naturels.

Et sinon, ça sent bon ?

La qualité des produits d’hygiène et cosmétiques bio repose aussi sur leur texture, leur senteur, leur praticité, tout ce qui fait qu’on les utilisera avec plaisir…  Pour vérifier ce point, pas d’autres solutions que de tester les échantillons transmis par les fabricants ! Un travail auquel Muriel associe les équipes de Chlorophylle et notamment Sara, diplômée de l’École des Plantes de Paris, qui dispense ses précieux conseils chaque semaine dans chacun de nos magasins.

Un exemple avec les crèmes solaires : pour bronzer bio et écolo !

Chaque année, on nous le dit, on nous le répète : le soleil, c’est bien ; s’en protéger, c’est indispensable. Mais dans le même temps, des messages nous mettent en alerte sur les filtres chimiques et leurs effets secondaires, sur les nanoparticules et leur impact sur notre organisme et sur l’environnement.
Et si la solution était, là encore, de passer au bio !

Des plantes et un filtre minéral

Les crèmes solaires bio sont composées d’huiles végétales et essentielles, et de microparticules minérales (oxyde de zinc ou dioxyde de titane) qui dès l’application, reflètent la lumière du soleil et empêchent les UV de pénétrer dans la peau. Avec ces composants, les risques d’allergie, de photosensibilisation et de perturbations endocriniennes sont réduits.  

Et en plus, c’est mieux pour l’environnement

Lorsque l’on va se baigner, il est d’usage de considérer qu’environ 25% de notre protection part dans l’eau. Sans aller jusqu’à dire que les filtres minéraux sont sans impact, ils sont en tous les cas bien moins nocifs que les filtres chimiques, dont une étude italienne publiée en 2008 dans la revue scientifique Environmental Health Perspectives a mis en évidence l’effet délétère sur l’environnement marin (Sunscreens Cause Coral Bleaching by Promoting Viral Infections). 

Un effet blanc ? « Beaucoup moins qu’avant » !

Bon d’accord… Il y a quelques années, les écrans minéraux nous laissaient un épais voile blanc sur la peau. Pas très gracieux, certes, mais très protecteur. « Aujourd’hui, c’est tout de même bien mieux ; les particules minérales utilisées sont plus petites, les crèmes, laits ou sprays sont plus faciles à étaler et le "voile blanc", s’il reste présent, est beaucoup moins visible tout en demeurant très efficace ».

La chasse aux nanoparticules

De toutes les façons, si votre crème solaire ne laisse pas ce petit voile blanc, c’est que l’écran minéral est utilisé sous forme de nanoparticules (un nanomètre égale un millionième de millimètre). Et ça, ce n’est pas conforme au cahier des charges de la cosmétique Bio, même si depuis 2014, une dérogation temporaire est en place. Chez Chlorophylle en tous les cas, la plus grande vigilance est de rigueur : « pour nous, la présence de nanoparticules dans un produit est rédhibitoire ! »

Bio et fabriqué en France

Chez Chlorophylle, vous avez le choix entre deux marques de produits solaires bio, dont les prix sont comparables à ceux des crèmes disponibles en pharmacie et parapharmacie.

  • Algamaris (Laboratoires de Biarritz). Leur procédé utilise un principe actif issu de l’une des espèces d’algues rouges, le Gelidium sesquipedale, privilégié pour ses propriétés anti oxydantes particulièrement développées (capture des radicaux libres, qui sont considérés comme l’une des causes du vieillissement tissulaire).
  • Alphanova (basée en Provence). Les produits sont travaillés avec des ingrédients et partenaires de Provence, en évitant  les composés chimiques polémiques (paraben, phenoxyethanol...) mais aussi toutes les substances irritantes (même naturelles) afin de garantir une tolérance optimale. 

À renouveler chaque année

Les tubes de crèmes solaires sont à renouveler chaque année, car leurs principes actifs s’altèrent en quelques mois. Et surtout, quelle que soit la protection, le bon sens reste de mise : on n’expose pas au soleil des enfants en bas-âge, on évite toute exposition au plus fort du rayonnement et on n’oublie pas qu’une bonne protection commence avec un indice 30 (plus l’indice est bas, plus l’application devra être renouvelée).